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Claude de SCORRAILLE
Psychologue - systémicienne - chercheuse en santé mentale - clinicienne de la relation - thérapie brève spécialiste en stratégies relationnelles

Dans l’univers de la thérapie stratégique, le paradoxe occupe une place aussi centrale qu’énigmatique. Ni tout à fait logique, ni complètement illogique, il se situe dans cet entre-deux fertile où l’absurde devient thérapeutique.

Introduction : Le paradoxe, un grain de sable dans la machine de nos certitudes

 

Comme le disait si justement Bateson, “le paradoxe est la porte d’entrée vers un niveau logique supérieur”. Cette porte, souvent verrouillée par nos résistances au changement, s’ouvre parfois plus facilement avec une clé tordue qu’avec une clé droite.

 

La thérapie stratégique, héritière directe de l’École de Palo Alto, a fait du paradoxe l’un de ses outils les plus puissants. Non pas par goût de la contradiction ou par plaisir de dérouter le patient, mais parce que le paradoxe permet de contourner les résistances là où l’approche directe échoue. Comme le souligne l’approche systémique stratégique, le paradoxe thérapeutique s’inscrit dans une vision circulaire et non linéaire des problèmes humains.

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Le paradoxe : définition et mécanismes

Qu’est-ce qu’un paradoxe thérapeutique ?

Un paradoxe thérapeutique est une intervention qui semble contredire l’objectif même de la thérapie tout en y conduisant. Il s’agit d’une prescription qui, en apparence, va à l’encontre du changement souhaité, mais qui, par un effet de ricochet psychologique, le provoque.

Le paradoxe thérapeutique repose sur un principe fondamental : prescrire le symptôme ou le problème que l’on cherche à éliminer. Cette prescription transforme la nature même du symptôme en le faisant passer du statut de comportement spontané et involontaire à celui de comportement prescrit et volontaire.

Les mécanismes psychologiques sous-jacents

Le paradoxe thérapeutique fonctionne grâce à plusieurs mécanismes psychologiques subtils :

  1. La réactance psychologique : Lorsqu’on prescrit à quelqu’un de faire ce qu’il fait déjà de manière involontaire, on suscite souvent une résistance qui peut conduire à l’abandon du comportement problématique.

  2. Le recadrage : Le paradoxe modifie le cadre de référence dans lequel le problème est perçu, permettant d’en changer le sens et donc la réponse émotionnelle et comportementale qu’il suscite.

  3. La confusion : En créant une situation logiquement ambiguë, le paradoxe provoque un état de confusion temporaire qui peut déstabiliser les schémas de pensée rigides et ouvrir la voie à de nouvelles perspectives.

  4. L’utilisation de la résistance : Au lieu de lutter contre la résistance du patient, le paradoxe l’utilise comme levier de changement, transformant l’obstacle en outil.

Les différentes formes de paradoxes thérapeutiques

La prescription du symptôme

La prescription du symptôme consiste à demander au patient de produire volontairement le symptôme qu’il subit habituellement de manière involontaire. Par exemple, on peut prescrire à une personne souffrant d’insomnie de rester éveillée le plus longtemps possible. Cette technique est particulièrement efficace pour les troubles anxieux et les comportements compulsifs. 

Le paradoxe de la spontanéité

Le paradoxe de la spontanéité repose sur une contradiction inhérente : comment peut-on être spontané sur commande ? Cette intervention est particulièrement utile dans les cas où le patient cherche désespérément à contrôler quelque chose qui, par nature, échappe au contrôle volontaire. Un exemple classique est celui des troubles sexuels comme l’impuissance ou l’anorgasmie. En prescrivant au patient d’avoir des relations sexuelles tout en lui interdisant l’orgasme, on le libère paradoxalement de la pression de performance qui entretient souvent le problème.

La restriction paradoxale

La restriction paradoxale consiste à limiter un comportement problématique plutôt que de tenter de l’éliminer complètement. Par exemple, on peut demander à une personne qui se lave les mains de manière compulsive de ne le faire qu’à certains moments précis de la journée.

Cette approche est particulièrement efficace pour les TOC et autres comportements compulsifs. 

Le paradoxe de position

Le paradoxe de position consiste à adopter et amplifier la position du patient pour mieux la transformer. Par exemple, face à un patient qui affirme que rien ne peut l’aider, le thérapeute peut surenchérir en disant : “Vous avez raison, et je me demande même si la thérapie ne risque pas d’aggraver votre situation.”

Cette technique est particulièrement utile face au doute pathologique et aux résistances au changement. En prenant une position encore plus extrême que celle du patient, le thérapeute crée un espace où le patient peut lui-même commencer à nuancer sa position.

Applications cliniques du paradoxe thérapeutique

Le paradoxe dans le traitement des troubles anxieux

Les troubles anxieux représentent un terrain particulièrement fertile pour l’utilisation des interventions paradoxales. Prenons l’exemple des attaques de panique, où la “peur d’avoir peur” constitue un cercle vicieux auto-entretenu.

Dans ce cas, une intervention paradoxale classique consiste à demander au patient d’essayer délibérément de provoquer une attaque de panique. Cette prescription transforme la nature même de l’anxiété : d’un phénomène subi, elle devient un objectif recherché, ce qui modifie profondément la relation du patient à son symptôme.

Comme l’explique l’article sur la différence entre l’anxiété et la peur, l’anxiété se nourrit de l’anticipation et de l’évitement. En prescrivant paradoxalement de rechercher l’anxiété, on court-circuite ce mécanisme d’anticipation anxieuse.

Le paradoxe dans la thérapie des TOC

Les Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC) représentent un autre domaine où les interventions paradoxales se révèlent particulièrement efficaces. La nature même des TOC, avec leurs rituels rigides et leurs pensées intrusives, se prête bien à l’approche paradoxale.

Une technique paradoxale classique pour les TOC consiste à prescrire le rituel, mais en le modifiant légèrement. Par exemple, on peut demander à une personne qui vérifie compulsivement si sa porte est fermée de le faire exactement 28 fois (ni plus, ni moins) à chaque sortie.

Cette prescription transforme le rituel involontaire en tâche volontaire, ce qui en modifie la nature et l’impact émotionnel. De plus, la précision absurde de la prescription (pourquoi 28 fois ?) introduit un élément d’absurdité qui peut aider le patient à prendre conscience du caractère irrationnel de son comportement.

Pour approfondir ce sujet, je vous invite à consulter l’article sur comment soigner les TOC avec rituels.

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Le paradoxe dans les thérapies familiales et de couple

Dans le contexte des thérapies familiales et de couple, le paradoxe prend souvent la forme d’une “prescription invariable” : on demande à la famille de continuer à faire exactement ce qu’elle fait déjà, mais en le présentant comme une prescription thérapeutique.

Par exemple, face à un couple où l’un des partenaires se plaint constamment tandis que l’autre reste silencieux, on peut prescrire explicitement ce schéma : “Madame, je voudrais que vous continuiez à vous plaindre exactement comme vous le faites, et Monsieur, je voudrais que vous continuiez à ne pas répondre.”

Cette prescription transforme un schéma relationnel involontaire en comportement prescrit, ce qui en modifie la dynamique et ouvre la possibilité d’un changement. Comme l’explique l’article sur couple et famille, les schémas relationnels rigides sont souvent maintenus par des tentatives de solution inefficaces que le paradoxe permet de déjouer.

Les défis et limites de l’approche paradoxale

Quand ne pas utiliser le paradoxe

Malgré son efficacité, l’approche paradoxale n’est pas une panacée et présente certaines contre-indications. Elle est généralement déconseillée dans les cas suivants :

  • Patients présentant des traits paranoïaques marqués
  • Situations de crise aiguë où une intervention directe est nécessaire
  • Patients ayant une faible capacité d’abstraction ou d’humour
  • Contextes culturels où l’approche indirecte pourrait être mal interprétée

Comme le souligne l’article sur la paranoïa, l’utilisation du paradoxe avec des patients paranoïaques risque de renforcer leur méfiance et leur sentiment de manipulation.

Les résistances au paradoxe

L’intervention paradoxale peut elle-même susciter des résistances. Certains patients, particulièrement ceux ayant une forte tendance au contrôle ou au perfectionnisme, peuvent percevoir le paradoxe comme une tentative de manipulation ou une remise en question de leur intelligence.

Dans ces cas, il est essentiel d’adapter l’approche et de préparer soigneusement le terrain pour l’intervention paradoxale. Comme l’explique l’article sur le perfectionnisme, les perfectionnistes ont besoin de comprendre la logique sous-jacente à l’intervention pour pouvoir l’accepter.

L’éthique du paradoxe 

L’utilisation du paradoxe en thérapie soulève des questions éthiques importantes. Le paradoxe implique une forme de manipulation, même si celle-ci est bienveillante et orientée vers le bien-être du patient.

Il est donc essentiel que le thérapeute utilisant des interventions paradoxales soit conscient de cette dimension et s’assure que son intervention respecte l’autonomie et la dignité du patient. Le paradoxe doit rester un outil au service du patient, et non un moyen pour le thérapeute de démontrer sa virtuosité technique ou d’exercer un pouvoir.

Comme le rappelle l’article sur les 5 axiomes de la communication pragmatique, toute communication, y compris paradoxale, s’inscrit dans une relation et a des implications relationnelles qu’il convient de prendre en compte.

Le paradoxe au-delà de la thérapie : applications dans d’autres contextes

Le paradoxe en coaching et développement personnel

Les principes du paradoxe thérapeutique peuvent être adaptés au contexte du coaching et du développement personnel. Par exemple, face à un client perfectionniste qui se fixe des objectifs irréalistes, un coach peut paradoxalement lui prescrire de viser encore plus haut, jusqu’à l’absurde, pour l’amener à prendre conscience du caractère contre-productif de sa tendance.

Le coaching systémique intègre naturellement cette dimension paradoxale, reconnaissant que parfois, c’est en amplifiant un comportement problématique qu’on parvient à le transformer. Comme le montre l’article sur la transformation et performance, le paradoxe permet souvent de débloquer des situations d’impasse professionnelle là où les approches directes échouent.

Le paradoxe en milieu scolaire et éducatif

Dans le contexte éducatif, l’approche paradoxale peut offrir des perspectives nouvelles face à des problématiques récurrentes. Par exemple, face à un élève qui refuse systématiquement de faire ses devoirs, un enseignant formé à l’approche systémique pourrait paradoxalement lui demander de choisir précisément quels devoirs il ne fera pas cette semaine.

Cette prescription transforme la dynamique de refus en une situation de choix et de responsabilité. L’élève, qui tirait une forme de satisfaction de son opposition, se retrouve dans une position où son refus devient paradoxalement une forme de conformité à la demande de l’enseignant.

L’approche systémique en milieu scolaire offre de nombreux exemples de telles interventions, montrant comment le paradoxe peut aider à dénouer des situations bloquées dans le contexte éducatif.

Le paradoxe en entreprise et management

Dans le monde de l’entreprise, le paradoxe peut être un outil puissant pour transformer les dynamiques d’équipe dysfonctionnelles. Par exemple, face à une équipe où chacun se renvoie la responsabilité des problèmes, un manager formé à l’approche systémique pourrait paradoxalement organiser une “réunion des excuses”, où chacun doit trouver des excuses pour les autres plutôt que pour soi-même.

Cette intervention paradoxale transforme la dynamique de déresponsabilisation en une situation absurde qui peut permettre à l’équipe de prendre conscience de ses schémas dysfonctionnels et d’évoluer vers une approche plus constructive.

Le management systémique intègre ces principes paradoxaux, reconnaissant que parfois, c’est en allant dans le sens d’une tendance problématique qu’on parvient à la transformer.

Les maîtres du paradoxe : figures historiques et contemporaines

Milton Erickson : l’hypnose et le paradoxe

Milton Erickson, figure tutélaire de l’hypnose thérapeutique moderne, était un maître dans l’art du paradoxe. Sa célèbre technique de “prescription du symptôme” a inspiré de nombreux thérapeutes stratégiques.

Erickson utilisait souvent des interventions paradoxales subtiles. Par exemple, face à un patient insomniaque, il pouvait lui suggérer de rester éveillé pour observer avec curiosité comment son corps résistait au sommeil. Cette prescription transformait l’insomnie subie en veille choisie, modifiant ainsi la relation du patient à son problème.

La formation en hypnose ericksonienne s’inspire directement de cette approche paradoxale, reconnaissant que l’inconscient répond souvent mieux à la communication indirecte et paradoxale qu’aux suggestions directes.

Gregory Bateson et la théorie des types logiques

Gregory Bateson, anthropologue et théoricien de la communication, a fourni le cadre conceptuel permettant de comprendre le fonctionnement du paradoxe thérapeutique. Sa théorie des types logiques explique comment le paradoxe permet de passer d’un niveau logique à un autre, créant ainsi les conditions du changement.

Selon Bateson, les problèmes psychologiques persistent souvent parce qu’ils sont abordés au même niveau logique que celui où ils se manifestent. Le paradoxe, en introduisant une contradiction, force le passage à un niveau logique supérieur, où de nouvelles solutions deviennent possibles.

Cette perspective théorique, développée notamment dans l’article sur l’histoire de Palo Alto, reste fondamentale pour comprendre la puissance transformative du paradoxe en thérapie.

Paul Watzlawick et la pragmatique de la communication

Paul Watzlawick, psychologue et théoricien de la communication, a approfondi la compréhension du paradoxe dans le contexte thérapeutique. Son concept de “prescription du symptôme” a formalisé l’utilisation thérapeutique du paradoxe.

Watzlawick distinguait deux types de changement : le changement de type 1, qui se produit à l’intérieur d’un système sans en modifier la structure, et le changement de type 2, qui transforme le système lui-même. Selon lui, le paradoxe thérapeutique permet d’induire un changement de type 2 là où les tentatives de changement de type 1 ont échoué.

Cette distinction, expliquée dans l’article sur les 5 axiomes de la communication pragmatique, reste essentielle pour comprendre pourquoi certains problèmes persistent malgré de nombreuses tentatives de solution.

Giorgio Nardone et l’évolution de la thérapie stratégique

Giorgio Nardone, psychothérapeute italien et directeur du Centre de Thérapie Stratégique d’Arezzo, a développé et systématisé l’utilisation du paradoxe en thérapie brève. Son approche, connue sous le nom de “thérapie brève stratégique”, fait un usage sophistiqué des interventions paradoxales.

Nardone a notamment développé le concept de “dialogue stratégique”, une forme d’entretien thérapeutique qui intègre des éléments paradoxaux pour contourner les résistances du patient et induire un changement rapide.

Cette approche, présentée dans l’article sur le dialogue stratégique, a montré son efficacité dans le traitement de nombreux troubles, notamment les phobies, les TOC et les troubles alimentaires.

Le paradoxe de la victoire épuisante : un cas d’étude

Présentation du concept

Le “paradoxe de la victoire épuisante”, également connu sous le nom de “victoire à la Pyrrhus”, illustre parfaitement la puissance du paradoxe en thérapie. Ce concept, développé par l’École de Palo Alto, désigne une situation où une personne obtient ce qu’elle croit vouloir, mais d’une manière qui la laisse épuisée et insatisfaite.

Par exemple, une personne peut obtenir l’attention et la reconnaissance qu’elle désire, mais au prix d’un perfectionnisme épuisant qui la laisse constamment insatisfaite. Ou encore, un couple peut maintenir une façade d’harmonie, mais au prix d’un évitement systématique des conflits qui appauvrit leur relation.

L’article sur le paradoxe de la victoire épuisante approfondit ce concept fascinant.

Application thérapeutique

Face à une “victoire épuisante”, l’intervention paradoxale consiste souvent à prescrire explicitement la stratégie que le patient utilise déjà implicitement. Par exemple, à une personne perfectionniste qui s’épuise à tout contrôler, on peut prescrire de continuer exactement comme avant, mais en planifiant consciemment ses moments d’épuisement.

Cette prescription transforme une stratégie inconsciente en choix conscient, ce qui en modifie profondément la nature et l’impact. Le patient, confronté à l’absurdité de planifier son propre épuisement, peut prendre conscience du caractère contre-productif de sa stratégie et envisager d’autres approches.

Résultats et enseignements

Les résultats de cette approche paradoxale sont souvent surprenants. En prescrivant la “victoire épuisante”, on crée les conditions pour que le patient puisse s’en libérer. Paradoxalement, c’est en acceptant pleinement sa stratégie dysfonctionnelle que le patient peut commencer à l’abandonner.

Cette intervention illustre un principe fondamental de la thérapie paradoxale : parfois, le chemin le plus court vers le changement passe par l’acceptation de ce qui est. Comme le dit la sagesse zen : “Ce à quoi tu résistes persiste, ce que tu acceptes se transforme.”

Conclusion : L’éloge de l’absurde thérapeutique

Le paradoxe en thérapie stratégique nous rappelle une vérité profonde : parfois, la ligne droite n’est pas le chemin le plus court. Face à la complexité de l’esprit humain et à ses résistances au changement, l’approche indirecte et paradoxale peut se révéler plus efficace que la confrontation directe.

Comme nous l’avons vu tout au long de cet article, le paradoxe thérapeutique n’est pas un simple tour de passe-passe ou une manipulation cynique. C’est un outil sophistiqué, ancré dans une compréhension profonde des mécanismes du changement psychologique et des dynamiques relationnelles.

En prescrivant ce que nous voulons éliminer, en acceptant ce que nous voulons changer, en amplifiant ce que nous voulons réduire, nous créons les conditions d’une transformation profonde et durable. C’est le paradoxe ultime de la thérapie stratégique : parfois, pour changer, il faut d’abord accepter de rester le même.

Si vous êtes aux prises avec un problème qui résiste aux approches conventionnelles, si vous vous sentez pris dans un cercle vicieux de tentatives de solution inefficaces, peut-être est-il temps d’explorer l’approche paradoxale. Les consultations LACT vous offrent l’opportunité de découvrir comment le paradoxe thérapeutique peut vous aider à sortir de l’impasse et à retrouver votre liberté psychologique.

Car comme le disait Bateson, “la sagesse, c’est de reconnaître que je suis une partie du système plus vaste, et que le système plus vaste, s’il est perturbé, peut me détruire. La partie ne peut pas contrôler le tout.”

Références

Bateson, G. (1972). Steps to an ecology of mind. University of Chicago Press.

Bogdan, J. L. (1982). Paradoxical communication as interpersonal influence. Family Process, 21(4), 443-452.

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Coyne, J. C., & Biglan, A. (1984). Paradoxical interventions in family therapy: A behavioral analysis. Journal of Behavior Therapy and Experimental Psychiatry, 15(3), 225-231.

Daie, N., & Witztum, E. (1991). Paradoxical and behavioral approaches to conversion reactions: A study of treatment effectiveness and mechanism. American Journal of Psychotherapy, 45(4), 584-592.

Haley, J., & Richeport-Haley, M. (2003). The art of strategic therapy. Routledge.

Madanes, C. (2018). Strategic family therapy. In Encyclopedia of Couple and Family Therapy (pp. 2867-2871). Springer.

Nardone, G., & Watzlawick, P. (2005). Brief strategic therapy: Philosophy, techniques, and research. Jason Aronson.

Neuburger, R., (2000). L’irrationnel dans le couple et la famille. ESF.

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de Scorraille, C. et al. (2017). Quand le travail fait mal. Érès.

Vitry, G. et al. (2024). Le grand livre du diagnostic systémique et de l’intervention stratégique. Paris: Dunod.

Vitry, G. (2024).Thérapie brève systémique stratégique.  DeBoeck

Vitry, G. et al. (2023). Comprendre et soigner les addictions. Paris: Dunod.

Watzlawick, P., Weakland, J., & Fisch, R. (1974). Change: Principles of problem formation and problem resolution. Norton.

Watzlawick, P., & Nardone, G. (2000). Stratégie de la thérapie brève. Paris: Éditions du Seuil.

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